Clémence avait envie de trouver un plan libertin hard avec un mec qui pourrait la dominer et lui apprendre les rouages du BDSM, de la soumission hard. Voilà les photos amateur du premier rendez-vous de cete jeune libertine soumise parisienne nue sur le lit. Ménottée et baillonnée, l’étudiante brune châtain aux jolis seins en poire a repoussé ses limites avec ce maitre de 40 ans qui a repoussé les limites de la jeune bourgeoise du 6è arrondissement.
Ces photos amateur sont devenus la norme des rencontres fétichistes qu’elle organise une fois par mois avec de nouveaux maitres ou partenaires dominateurs alpha.
Comment cette petite salope libertine débutante a commencé sa vie de soumise ?
Clémence, jeune parisienne de 28 ans, issue d’une famille bourgeoise où l’apparence et la bienséance priment, se sentait depuis longtemps étrangère à cette vie lisse et codifiée. Malgré les soirées mondaines et les voyages luxueux payés par papa maman, un vide intérieur la hantait, un désir sexuel intense et inavoué d’explorer une facette plus obscure de sa sexualité. C’est ainsi que la petite parisienne impavide décida de franchir une étape interdite dans son monde : s’initier au BDSM, à travers un bondage soft et contrôlé. Devenir soumise, chose, chienne, propriété d’un maitre.
Impatiente de trouver son premier plan cul SM, ses recherches la menèrent sur des forums BDSM et des cercles discrets où des maîtres dominaient des jeunes femmes soumises avec élégance, rigueur et sévérité. Elle trouva son premier contact, un maître aux allures dandy, qui lui proposa un contrat d’appartenance : un engagement mutuel où elle deviendrait sa soumise lors de rendez-vous secrets. Ce contrat, à la fois excitant et intimidant, stipulait clairement ses limites. Elle resterait dans le cadre du D/S soft, mais avec des expériences de soumission contrôlées, des séances de flagellation et de menottage les yeux bandés pour de la baise et du sexe dont elle ne serait qu’objet et non sujet.
Premier rendez-vous libertin SM à Montmartre
Lors de leur premier rendez-vous, dans un appartement caché de Montmartre, Clémence arriva vêtue d’une robe noire ajustée, son cœur battant à tout rompre. Dès qu’elle franchit le seuil, le maître, qui la dominait d’un regard froid et calculateur, lui tendit un collier noir en cuir. « Ce soir, tu seras ma chienne avec collier, » murmura-t-il, tandis qu’elle le suivait docilement vers une chambre aménagée tel un donjon destiné à des jeux de bondage ( une Croix de Saint-André tronait au milieu de la pièce ). Là, la petite salope ingénue se retrouva, nue, offerte, attachée par des cordes en soie qui marquaient légèrement sa peau.
La tension était palpable, mais le plaisir qu’elle ressentait à être soumise à ses ordres la surprenait. Dans cette mise en scène délicate, où elle était une **femme nue offerte à son maître, Clémence ressentait une liberté nouvelle, une expression de son désir qu’elle n’avait jamais osé toucher.
Au fil des rendez-vous, les jeux se firent plus intenses. Ils visitèrent ensemble un plan libertin hard, mais elle n’était qu’observatrice. À chaque fois, le maître testait ses limites sans jamais les franchir par des insultes, en pressant ses jolis tétons jusqu’à la limite. Il la qualifiait de « perfection« , attachée et vulnérable, mais paradoxalement puissante dans sa soumission.
Clémence, à travers ce cheminement secret, trouvait une nouvelle facette de son identité, oscillant entre la femme bourgeoise qu’elle était et la soumise explorant ses désirs les plus enfouis. Elle comprenait désormais que sa quête de soumission était avant tout une recherche de soi.
